Mail Art Now envoyé à Laurence Bucourt

Rien ne va plus tout fout le camps
dans les cuisines du pays au soleil levant
Harakiri au wasabi
la désinvolture du commerce chinois a pris le pas sur la cuisine japonais
d'un pas tés cadencé puisque chaque coin de rue
et repérer puis acheter pas la mafia chinoise
tout presque nous fais croire aux dépaysement exotique
mais la tendance va à l'approximatif,
au dubitatif, à l'indigeste
imitation des insulaires, maladresse protocolaire
il semble impossible pour un japonais de se faire passé
pour un chinois,
de faire croire qu'il maitrise aisément sa gastronomie
sur le bout de la baguette
le samurai et la pour faire sourire la galerie dans une atmophére de d'hypocrisie commerciale
tant de noblesse et de dépouillement travestie
parce que c'est à la mode, par ce que sushi par ce que sashimi par là
le Yakuza s'échine à ne pas se fâché à ne pas tombé dans le cliché de la guerre des sushi
le noyau dur ne prenant que très rarement des nems et du riz gluant.
le libéralisme et un peu sauvage aujourd'hui.
Le capitalisme et un pti naufrage sans sursit
sentons ce que nous mangeons
avalons des couleuvres,
si elle son l'œuvre de la sainte nature de la laïque authenticité.
arno