dimanche 21 mars 2010

vendredi 19 mars 2010

Mail Art Now envoyé à Sandrine Debris


la raison d'aimé,
c'est l'amour
la raison de la futution,
c'est la pénétration
edMon roustoN

mercredi 17 mars 2010

Reçu de Sandrine Debris



"Que serai je sans toi
que ce balbutieument.. ."

Dédicasse à Jean Ferra
qui berça de poéme lumineux

nos bons moment
de jeunesse en famille
.
sandrine&arno

vendredi 12 mars 2010

Pour Rania Omani


Espéce Humaine
épaisse couche de contradiction
et d'adiction assidu.
arno

mercredi 10 mars 2010

Mail Art Now envoyé à Eric Bensidon



Appel à la vigilance,
de Eric Bensidon,
face à la politique
Va y comme je t'expulse ...
de nos responsables
torssionaire
majoritaire.
Honte !!!

Reçu de Eric Bensidon


Eric engage sa créativité aux services des cinq prisonnier Politique Cubain
il à composé un catalogue regroupant tout les mails art qu'il à reçu à ce sujet.
Merci Eric

Pour Didier Triglia

Tête de Textile
Prét à poster
Collection 2010/2011


A 4 mains, c'est bien plus malin !!

mardi 9 mars 2010

Mail Art Now envoyé à Y et C Demousseau



Enfin, que c'est rassurent de voir le Printemps chaque année se pointé au bon moment, au moment ou on en à un besoin vitale, besoin cruciale de contemplé la magnifique nature et ces tours de passe passe chaque fois renouvelé, floraison, bouquet de fraîcheur, espoir renouvelé, idées neuve et énergie bien juteuse...

Y a plus qu'a se comporté et adopté la façon nouvel saison.
arno

lundi 8 mars 2010

Reçu de Sandrine Debris


From fillette to arno
Pas de régles sans plaisir, pas de plaisir sans régles du jeu
une petite siréne reste une petite siréne, coit originale oblige.

Reçu de Didier Triglia


A 4 Mains
c'est bien plus malin !!
Merci Didier

vendredi 5 mars 2010

Mail Art Now envoyé à Christiane Berti


Le Mailartage n'est pas à la page chez les éminents irresponsables de la poste, mauvais présage, quel erreur, quel horreur, quel dommage, quel sabotage, la liberté subitement prend un coup de guillotine dans le courrier, coup de jarret aux coeur de l'originalité, coup de pute à notre si chére amitiés Postale, les facteurs sympatique accompagnateur ainsi que bien souvent le personnel aux guichet aiment et adorent se rincé l'œil, aguichés par nos mails art sans contre façon, c'est aussi peu être ce qui fait leurs fiertés et leurs engagement d'appartenir aux services publique et à sa politique de loyauté, principe de générosité et d'humanité rendre service à tous, et à tout les courriers, sans restriction, sans préférence, sans vise de forme, sans uniforme de papier standard ou des lettres et des idées prêts timbré serai distribué comme des décret et des ordonnances d'une affligeante et révoltante banalité bureaucratique et étatique, censure du fond et de la forme, ça na pas de forme mais cependant soyons vigilant et résistant, la libre pensée existera quoi qu'il en coute, sur les murs de nos cité, sur le cuir de nos blouson, sur la chaire de nos peau tatoués, dans les réseaux clandestin, vers la liberté et son destin. La poste, la peste ou le coller là, découpé selon les pointillés et affranchir au tarif en vigueur, le cachet faisant foie. Arno

mardi 2 mars 2010

Mailartnow pour Chantal



les sarcasmes du problèmes des humains, quotidiennement creuse un profond sillon, un abîme ou l'amour est en peine, en berne provisoirement, souvent profondément enfouie, relier à une ficelle du passé de chacun, si dur et si pénible à saisir et à rembobiné, c'est une folle énergie au combien tyrannique que de si dévoué corps et âme à la recherche de solution improbable, seule la parole peut être curative, si elle détient la vérité de l'intimité, entraperçue de nous même avec nous même.
Lâcher du leste, c'est ceux à quoi s'emploie la volonté de se trouver, tel que nous somme, bien souvent des bêtes traquer débordant de peur infantile, suintant l'infamie de blessures à peine cicatrisé, pour bien maitrisé la vie, il faut la vivre à chaque instant, mais depuis quand, depuis quel événement, quel déclencheur nous aura fais prendre conscience de qui nous somme, le traumatisme de la naissance, la mort qui va naitre, le conte à rebours enclenché, il faut bien, certainement, une vie pour sans remettre, pour l'admettre délibérément et se réjouir de chaque moment pleinement, avec du recule et de la dignité, c'est sur notre pied d'étal qu'il faut dansé, flirté avec toutes nos émotions les plus terribles, les plus sensibles,
Que c'est usant de devoir à chaque instant vieillir inlassablement
Que c'est amusant de se pencher sur que l'on croie pouvoir nous anéantir copieusement avec du recule et de la sagesses de façon à ne pas tomber brutalement, vers l'urgence de notre sublime désastre.
le point de non retour, le retour de non point.
arno