Mailartnow pour Didier Triglia

Totem Rois et totem Reine

A la vie à la mort

se son promit une constante confiance

une sereine fidélité

une intégrale sincérité

une respectable complicité

ils sont l'amour et son royaume

ils ont bu sans retenu leur splendeurs respective

faisant de leur différence une harmonieuse félicité

ils sont l'intuition, la valeur absolu, la référence,

la source de la création,

devenu siamois et siamoise de la royauté,

ils ne peuvent plus s'isoler pour se masturber,

ce n'est que parti remise,
tant que durera
le fabuleux règne de l'illusion terrestre
la farce
attendrissante
de nos vie
jamais rassasier
olé, olé.
arno

Mailartnow Pour le Café des Sports

En résumer

Xanax, Viagra
ect, ect...

Mailartnow pour Sylvie

N'appuie pas trop vite
sur le bouton panic
regarde en toi
chaque problème
émet une solution
racle le fond
de la singularité immonde
ta vérité profonde
ne se révèle que si tu t' atèle à tout démantelé
faire cour-circuit,
reconduit empressement les leur
à leurs place loin de la félicité
pour lesquelles ils s'étaient annoncé.
Soumet toi à absolu nécessiter de relier ton coeur et ton esprit,
les incisives prêtent à mordre,
à tordre les préjugés falsifier et les soubresaut de ta sensible fragilité, trop sollicité, trop usurper, trop lubrifier de mensonge avarier. arno

Mailartnow pour Laurence Bucourt

Close up

Quel été, quel tempête sur nos être, quel terrible déniveler pour nos coeur hyper tendu, écervelée, harcèlement consensuel, ajuster à notre personnalité, bien placer au beau milieu de la sensibilité, meurtrie, écorché. Échoué, retranché dans l'impartialité, la souffrance opère sans anesthésie, quel est la grandeur de l'amour quand on tombe si bas quand on se sent si las auréolé de sa propre fragilité, crache minutieusement programmer, échec ou game over sans doute les deux, je sais que mon âme éclaboussé doit s'en félicité, je sent que mon corps réclame des impossibilités, plaisir d'outre tombe sensation d'un autre monde, des souvenirs de fulgurance passé encore fraichement tyrannique, entassé, endossé, gravé, pas encore cicatrisé mais o combien conflictuel, trahi et bafoué en désaveux totale avec la dignité que je réclame que je proclame ici et maintenant, rituel sans ritournelle, oui, pas de tant à perdre à se laisser bercer par un quelconque renoncement acquittement, un pseudo pardon qui durera un bref instant, qui se jouera de plus hypothétique et scabreuse situation à l'avenir grotesque et falsifier de déclaration péremptoire, illusion à bout de souffle en fin de piste, déclenchant implacablement la colère guerrière, la violence salutaire. Désespoir au goût du jour, jour à vider de son contenu, l'aube pointe ses exigences, assuré l'intendance basique d'un nouveau jour, instant plus serein rapatriement en urgence auprès de l'amour certain. Tout est possible, l'inaccessible étoile brille toujours par delà la clarté de la vie, dans laquelle je veux puissé la félicité, le partage et la santé, honorable but, adorable pute. Que l'on doit honoré avec l'art et la manière dont les astreignante capacité don la vie croit ont nous à doté, l'ombre de la mort semble acquise et permissive en guise de valeureuse splendeur à toute asservie.
Memento mori .arno